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Cher public, autant ĂŞtre direct. j’ai appris dernièrement que j’avais une grave maladie. Cette fois c’est dĂ©finitivement confirmĂ©. c’est hĂ©las très sĂ©rieux. (le diagnostic a pris un peu de temps)

Je devrais pouvoir en guĂ©rir d’ici une bonne annĂ©e minimum (ce n’est pas garanti !). mais au prix d’un traitement très lourd, et je pèse mes mots. Inutile de prĂ©ciser plus .

Pour le moment j’ai pris un gros coup sur la tĂŞte. et je m’efforce de chercher des traitements alternatifs naturels. Je passe quasiment mes journĂ©es Ă  me documenter.

J’en veux vraiment Ă  cette sociĂ©tĂ© – ce mode de vie qui nous rend malades et que je dĂ©nonce chaque jour depuis bientĂ´t 5 ans – plus que jamais, encore plus qu’avant .

MalgrĂ© mes connaissances pointues, que j’applique pour moi mĂŞme dans ma vie privĂ©e (le plus possible), je me suis quand mĂŞme fait avoir, comme tant d’autres !

Pour le blog, je vais forcĂ©ment le mettre un peu de cotĂ© pour le moment. Mais je devrais reprendre car c’est une passion et car ça m’aide beaucoup mentalement – surement courant AoĂ»t. (de toutes façon tous les Ă©tĂ©s je prenais des vacances, l’Ă©tĂ© dernier pas vraiment des vacances car forcĂ©es. ironie du sort)

Le Blog de la RĂ©sistance devient de plus en plus une rĂ©fĂ©rence (il l’est quand je suis en forme surtout). et tant de personnes ont foi en moi (il y a plus 13 000 articles publiĂ©s de mĂ©moire). je ne lâcherai pas comme ça c’est certain.

Mais la santĂ© avant tout. Et sur ce coup, j’espère que je n’y laisserai pas ma peau. C’est très angoissant .

Bref – C’est assez difficile Ă  encaisser. Merci pour vos messages d’encouragement .

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Ils arrivent tous d’un coup … Incroyable .

Pause de quelques jours histoire de régler tout ça .

Les trois hommes responsables de la dérégulation du marché des matières premières en 1999. Robert Rubin, alors secrétaire au trésor (devenu co-président de Goldman Sachs), Alan Greenspan, président de la réserve fédérale, et Larry Summers, successeur de Rubin au trésor (devenu président de l’université de Harvard puis conseiller de Barack Obama)

Le 22 février 2017, Antonio Guterres, le nouveau secrétaire général de l’ONU, alertait le monde concernant la famine sévissant dans plusieurs pays du Sahel, de la corne de l’Afrique et au Yémen. Certains membres de l’Organisation parlent de la « plus grave crise alimentaire depuis la création de l’ONU ».

Sur un ton compassionnel, la famine est généralement présentée par les médias et les institutions internationales comme un phénomène naturel, irrémédiable, contre lequel la « communauté internationale » investit tous les moyens en son pouvoir. Cette narration ne permet que rarement d’aborder les éléments pouvant expliquer réellement pourquoi, à l’ère de la circulation accélérée des individus, des informations, des ressources et des biens de consommation, des millions d’êtres humains sont décimés par la faim et la soif. Le rapporteur de l’ONU pour le droit à l’alimentation, Olivier de Schutter. le soulignait dans un entretien pour le quotidien espagnol El Pais. « La faim est un problème politique. C’est une question de justice sociale et de politiques de redistribution » .

La spéculation sur les matières premières, cause mondiale de la famine

Gary Cohn, Ă  droite, en compagnie de Lloyd Blankfein, patron de Goldman Sachs.

Depuis les initiatives politiques de dérégulation financière des années 1980, les matières premières sont accessibles aux banques et aux fonds d’investissement. A la fin de la guerre froide, en 1991, la banque Goldman Sachs, alors sous la direction de Gary Cohn. devenu depuis directeur du conseil économique national de l’administration Trump, crée le GSCI, « Goldman Sachs Commodity Index ». un produit dérivé synthétisant en une formule mathématique complexe l’indice de la valeur boursière de 24 matières premières parmi lesquelles le café, le bétail, le maïs, les porcs, le soja et le blé, mais également les métaux précieux, le pétrole et le gaz.

Les spéculateurs responsables de la volatilité des prix des denrées alimentaires

Au XIX° siècle aux États-Unis, des « contrats à terme » ont été créés afin de permettre aux agriculteurs et aux acheteurs de blé de s’appuyer sur un accord de base pour négocier le prix des céréales. Malgré la volatilité propre aux conditions de vente de ces produits – contingences du transport, du climat … – les contrats à terme permettaient une stabilité relative des prix. Cette stabilité était possible parce que tous les agents de la transaction étaient des acteurs matériels du marché des céréales. Même les multinationales comme Nestlé, Pizza Hut ou McDonalds ont matériellement besoin d’acheter et de vendre des céréales pour alimenter leurs affaires. Elles prennent de vrais risques en achetant et en vendant ces produits qui sont la base de leur commerce. C’est pourquoi on les appelle des bona fide hedgers . autrement dit, et il faut goûter toute l’ironie de cette appellation, des « spéculateurs de bonne foi » .

Nous l’avons dit, ces agents spéculateurs de multinationales dont le business est en relation directe avec le cours des céréales prennent des risques pour leurs propres affaires en investissant dans ces denrées pourtant nécessaires à leur production. Or, la gestion de risque, c’est la spécialité de purs spéculateurs tels que Goldman Sachs, dont les bénéfices n’ont aucun rapport avec la gestion matérielle des denrées sur lesquelles ils spéculent. Lorsque les bona fide hedgers se sont mis à confier la gestion de ces risques aux spéculateurs sans lien avec la réalité de l’industrie agro-alimentaire, ils leur ont permis de transformer notre pain quotidien en pur produit spéculatif.

Greenspan, Summers, Rubin. les artisans du fléau de la dérégulation

Rubin, Greenspan et Summers, les responsables de la dérégulation des marchés, et notamment de celui des matières premières, présentés comme des héros par le magazine Time en février 1999

En hommage à l’action de Brooksley E. Born contre Rubin, Greenspan et Summers, le magazine de l’université de Stanford publia cette une, 10 ans après celle du Time. « la femme qui tenta de sauver notre monnaie, et les gens qui l’en empêchèrent »

Entre 1998 et 1999, la CFTC (Commodity Futures Trading Commission), l’agence chargée de la réglementation des bourses de commerce aux États-Unis, a pris la décision d’ouvrir les marchés à terme aux opérateurs extérieurs, c’est-à-dire à tous les fonds spéculatifs. Cette décision fut le fruit d’une confrontation au sein de l’administration Clinton entre d’un côté Brooksley E. Born. alors à la tête du CFTC et réticente vis-à-vis de cette dérégulation, et de l’autre Alan Greenspan. président de la réserve fédérale, Robert Rubin. alors secrétaire au trésor et ancien coprésident de Goldman Sachs, et Larry Summers. successeur de Rubin au trésor et membre du comité directeur du groupe Bilderberg. Born perdit ce bras de fer. Cette dérégulation déstabilisa complètement le fragile équilibre des contrats à terme, accentuant tragiquement la volatilité des prix des denrées alimentaires. Il s’échangerait chaque année désormais à la bourse de Chicago près de 46 fois la production mondiale de blé. Les denrées alimentaires sont devenues des valeurs boursières refuges, sur lesquelles se ruent les fonds spéculatifs en cas d’éclatement d’une bulle financière. Ainsi, lors de la crise de 2007-2008 en partie causée par la pression exercée par Greenspan, Rubin et Summers sur le CFTC une décennie plus tôt, les fonds spéculatifs ont investi des milliards de dollars dans les matières premières à une période de raréfaction des récoltes, précipitant des millions d’individus dans la famine et menant aux déstabilisations politiques connues sous le nom d’émeutes de la faim .

Larry Summers, la folie ultralibérale au service de l’asservissement des peuples

Pour bien saisir en quoi les idéaux ultra libéraux de ces individus ont un impact direct sur le sort des peuples, et quel est le degré de mépris de ces dérégulateurs professionnels pour la vie humaine, il faut se rappeler les propos de Larry Summers, et se souvenir que cet individu fut membre du comité directeur du groupe Bilderberg, économiste en chef de la banque mondiale (1991-1993), chef du conseil économique national de l’administration Obama (2009-2010), président de l’université de Harvard :

« Les pays sous-peuplés d’Afrique sont largement sous-pollués. La qualité de l’air y est d’un niveau inutilement élevé par rapport à Los Angeles ou Mexico […] Il faut encourager une migration plus importante des industries polluantes vers les pays les moins avancés […] et se préoccuper davantage d’un facteur aggravant les risques d’un cancer de la prostate dans un pays où les gens vivent assez vieux pour avoir cette maladie, que dans un autre pays où deux cents enfants sur mille meurent avant d’avoir l’âge de cinq ans. […] Le calcul du coût d’une pollution dangereuse pour la santé dépend des profits absorbés par l’accroissement de la morbidité et de la mortalité. De ce point de vue, une certaine dose de pollution devrait exister dans les pays où ce coût est le plus faible, autrement dit où les salaires sont les plus bas. Je pense que la logique économique qui veut que des masses de déchets toxiques soient déversées là où les salaires sont les plus faibles est imparable ».

cité par The Economist, 08.02.92, The Financial Times, 10.02.92, reproduit dans Courrier International, n°68, 20.02.92 et dans Le Monde, 19.05.92.

Summers a également déclaré :

« il vaut mieux que les enfants asiatiques travaillent dans les usines textiles plutôt qu’ils se prostituent »

Cité par Les Echos, 25 novembre 2008, p.38

Voilà donc les deux perspectives d’avenir que le capitalisme financier propose à la jeunesse des contrées dans lesquelles il entend imposer sa vision du progrès et de l’« ouverture » économique et morale. esclavage industriel ou prostitution. Comme si ces deux propositions ne connaissaient pas d’alternative …

Pour aller plus loin :

La famine, arme de la guerre et du marché. Niger, Nigéria, Sud-Soudan, Somalie, Yémen, Cercle des Volontaires, Galil Agar

Ouvrages de Jean Ziegler :

Le Droit à l’alimentation . Paris, Éditions Fayard, 2003.

Destruction massive. GĂ©opolitique de la faim . Paris, Le Seuil, 2011.

Incroyable, malgrĂ© sa toxicitĂ© prouvĂ©e – La Commission europĂ©enne a proposĂ© un renouvellement de l’autorisation du glyphosate pour 10 ans, après le feu vert des agences d’expertise europĂ©ennes. Ces dernières auraient sous-estimĂ© des Ă©tudes dĂ©montrant des cas de cancers sur des rongeurs.

Dans une lettre adressĂ©e le 28 mai au prĂ©sident de la Commission europĂ©enne Jean-Claude Juncker, le toxicologue amĂ©ricain Christopher Portier dĂ©nonce l’Ă©valuation scientifique d’Ă©tudes, menĂ©e par l’Agence de sĂ©curitĂ© alimentaire europĂ©enne (Efsa) et l’Agence europĂ©enne des produits chimiques (Echa), qui sous-estimeraient le lien entre plusieurs cas de cancer et la substance herbicide glyphosate. Ces agences d’expertise « ont Ă©chouĂ© Ă  identifier tous les cas statistiquement significatifs d’augmentation d’incidence de cancers, dans les Ă©tudes de cancĂ©rogĂ©nicitĂ© chronique menĂ©es sur les rongeurs ». a indiquĂ© M. Portier dans sa lettre.

Quand on sait que les travaux de ces agences se sont appuyĂ©s sur des Ă©tudes parrainĂ©es par Monsanto pour leur Ă©valuation de la sĂ©curitĂ© du glyphosate, on ne peut pas ne pas s’interroger.

Eric Andrieu et Marc Tarabella, eurodéputés

Le glyphosate, substance active controversĂ©e notamment du Roundup de Monsanto, est la plus utilisĂ©e dans le monde. Le 16 mai dernier, la Commission europĂ©enne a proposĂ© de rĂ©autoriser sa mise sur le marchĂ© pour dix ans dans l’UE, après le feu vert de l’Echa. L’agence a en effet jugĂ©, le 15 mars dernier, que les connaissances scientifiques disponibles ne permettaient pas de classer le glyphosate comme substance cancĂ©rogène, mutagène ou toxique pour la reproduction (CMR). « Il est improbable que le glyphosate prĂ©sente un danger cancĂ©rogène pour l’Homme « , avait Ă©galement assurĂ© l’Efsa en novembre 2015. Les agences ont publiĂ© leur avis après que le Centre international de recherche sur le cancer (Circ) de l’OMS (Organisation mondiale de la santĂ©) a pourtant classĂ©, en mars 2015, cette substance comme probablement cancĂ©rogène pour l’Homme. Selon le Circ, des « preuves convaincantes » avaient montrĂ© que le glyphosate peut causer le cancer chez les animaux de laboratoire. Le glyphosate serait aussi Ă  l’origine de lĂ©sion sur le matĂ©riel gĂ©nĂ©tique de cellules humaines.

Huit cas cancérigènes répertoriés

M. Portier a prĂ©cisĂ©, au journal Le Monde. avoir passĂ© en revue les donnĂ©es brutes d’une quinzaine d’Ă©tudes industrielles menĂ©es sur des rongeurs transmises aux agences. Dans sa lettre, l’expert international indique avoir « trouvĂ© huit cas de hausses significatives de la frĂ©quence de tumeurs qui n’apparaissent dans aucune des publications ou des Ă©valuations officielles prĂ©sentĂ©es par l’Efsa et l’Echa. (…) Certaines de ces tumeurs Ă©taient Ă©galement prĂ©sentes dans plusieurs autres travaux, renforçant la cohĂ©rence des rĂ©sultats entre Ă©tudes ». Selon M. Portier, il s’agit de tumeurs au niveau du poumon des rongeurs. de la thyroĂŻde. des tissus mous. du rein. du foie. de la peau et des glandes mammaires .

M. Portier a Ă©tĂ© sollicitĂ© par des dĂ©putĂ©s europĂ©ens pour mener une rĂ©analyse de ces donnĂ©es. Les eurodĂ©putĂ©s socialistes, dĂ©mocrates et Ă©cologistes ont dĂ©noncĂ© le renouvellement de l’autorisation du glyphosate proposĂ© par la Commission. Les eurodĂ©putĂ©s socialistes français Eric Andrieu et belge Marc Tarabella ont soutenu cette lettre de M. Portier. « Quand on sait que les travaux de ces agences se sont appuyĂ©s sur des Ă©tudes parrainĂ©es par Monsanto pour leur Ă©valuation de la sĂ©curitĂ© du glyphosate, on ne peut pas ne pas s’interroger. », estiment les deux dĂ©putĂ©s. Ils rĂ©clament de nouveau plus de transparence et la mise Ă  disposition publique des Ă©tudes scientifiques. M. Portier a appelĂ© M. Juncker Ă  « s’abstenir de prendre toute dĂ©cision sur le glyphosate » jusqu’Ă  ce que les nouveaux Ă©lĂ©ments mis au jour soient inclus dans l’Ă©valuation europĂ©enne. « Cela nous conforte dans l’idĂ©e qu’il faille prĂ´ner le principe de prĂ©caution. tant que nous ne sommes pas sĂ»rs que le produit soit inoffensif, on ne peut donner l’autorisation de l’utiliser. les citoyens ne sont pas des cobayes. ». a ajoutĂ© le dĂ©putĂ© Marc Tarabella.

Les Etats membres devraient se prononcer d’ici peu sur sa rĂ©autorisation pour 10 ans. La Commission a rappelĂ© que chaque Etat membre gardait le droit d’autoriser ou non l’utilisation de pesticides Ă  base de glyphosate sur son territoire. (source )

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Une nouvelle vidĂ©o militante dĂ©nonce les conditions d’Ă©levage dĂ©sastreuses Ă  l’oeuvre dans les poulaillers industriels des grands groupes agroalimentaires français…

L214 n’en est pas Ă  son coup d’essai. L’association vĂ©gane française de dĂ©fense des droits des animaux continue son combat et passe au peigne fin la production nationale et les dĂ©rives de l’industrie de l’alimentation. Ainsi, après un premier reportage Ă©loquent sur la face cachĂ©e de l’oeuf, le collectif rĂ©vèle des mĂ©thodes similaires « exĂ©crables » chez un fournisseur de la cĂ©lèbre marque Lustucru, entreprise du groupe Panzani, relate Le Monde.

Élevage en batterie

Ces images insoutenables montrent un Ă©levage de 160.000 poules entassĂ©es les unes sur les autres, dĂ©charnĂ©es, dĂ©plumĂ©es, perdues au milieu des cadavres, des Ă©clopĂ©es et des purulentes. Elles auraient Ă©tĂ© recueillies le 4 mai dernier chez un producteur de VendĂ©e, propriĂ©tĂ© du groupe Les Oeufs Geslin. Elles dĂ©noncent une fois de plus le scandale de l’Ă©levage en batterie et la catastrophe de l’alimentation « low-cost » ou les sacrifices imposĂ©s par la quĂŞte d’un prix toujours plus bas.

L214 invite aujourd’hui les internautes Ă  signer une pĂ©tition Ă  l’attention de Xavier Riescher, directeur gĂ©nĂ©ral de Panzani. L’association a Ă©galement dĂ©posĂ© plainte auprès du tribunal de Grande Instance de La Roche-sur-Yon (VendĂ©e) pour dĂ©noncer la maltraitance sur les animaux, prĂ©cise Europe 1. En effet, d’après une directive europĂ©enne de 2012, le producteur se doit de garantir aux poules « un espace de vie minimum, un nid, un perchoir, une aire de picorage et de grattage ».

Autant d’Ă©lĂ©ments manifestement absents ici. Des images qui peuvent Ă©videmment heurter la sensibilitĂ© des lecteurs… mais aussi leur ouvrir les yeux sur l’origine de leur boĂ®te d’oeufs « bon marchĂ© »…

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Le monde mĂ©dical est impitoyable. La mĂ©decine « conventionnelle » complètement Ă  cotĂ© de la plaque. Je vous en dirai surement plus prochainement car je suis en train de le vivre moi mĂŞme … (d’oĂą quelques soucis actuellement pour faire ma revue de presse)

Suite à toute opération de chimiothérapie, les tumeurs cancéreuses se développent de plus en plus rapidement. Accidentellement, des chercheurs Aux Etats-Unis ont découvert récemment la vérité fatale sur la chimiothérapie en cherchant pourquoi les cellules cancéreuses de la prostate sont assez dures à éradiquer par les méthodes conventionnelles de traitement. Selon cette étude, la chimiothérapie tend à induire la libération d’une protéine (WNT16B ) dans les cellules saines qui aide à favoriser la survie et la croissance des cellules cancéreuses.

L’inutilité de La chimio dans le traitement et la guérison du cancer

Inutile plutôt dangereux si on croit les découvertes de cette étude, le traitement chimio active surtout la croissance et l’étendue des cellules cancéreuses, les rendant beaucoup plus difficiles à les éliminer une fois que la chimiothérapie a déjà été démarrée.
On savait déjà que les traitements à base d’une chimio n’étaient qu’une vaste escroquerie, mais à travers cette étude nous pourrions en avoir la preuve décisive. Non seulement la chimiothérapie, étant la méthode standard de traitement du cancer actuellement,est, selon l’étude un fiasco total. Publiées dans le journal Nature Medicine,les choquantes découvertes qui, sans surprise, ont été ignorées de la communauté scientifique dominante, éclairent en détails la manière dont la chimiothérapie obligent les cellules saines à libérer une protéine qui alimente en vérité les cellules cancéreuses et les fait prospérer et proliférer.
Le scandale du siècle est déjà dénoncé par Le Dr. André Gernez depuis des décennies.

La Chimio & l’ADN font une liaison fatale
…Et comme ceci ne suffisait pas, la chimio endommage également l’ADN des cellules saines de façon irréversible, préjudice à long terme qui persiste longtemps après la fin du traitement par chimio. L’action combinée de la destruction de cellules saines et la promotion de cellules cancéreuses fait techniquement de la chimiothérapie plus un protocole de création de cancer qu’un protocole de traitement cancéreux, par définition, fait qui devrait retenir l’attention de quiconque est personnellement impliqué, soit pour lui-même en ayant un cancer, soit parce qu’il connaît quelqu’un d’autre qui en est affecté.
Quand le WNT16B (la protéine) est sécrétée, elle interagirait avec les cellules cancéreuses proches et les ferait grossir et se multiplier, mais le plus important c’est que ces mêmes tumeurs deviennent plus résistantes à une thérapie ultérieure.
Le Dr Glenn Warner, décédé en 2000, un des plus grands spécialistes du cancer aux États-Unis disait :
« Nous avons une industrie à plusieurs milliards de dollars qui tue les gens juste pour un gain financier. Leur idée de recherche est de voir si deux doses de ce poison valent mieux que trois doses de ce poison ».

Dispenser la chimio augmente les chances de récupérer sa santé
En effet, cela veut dire que la technique de la chimiothérapie toute entière n’a pas en réalité aucune valeur, et qu’elle est en fait au complet détriment du patient cancéreux. Celui qui cherche vraiment à guérir d’un cancer évitera la chimio, et recherchera une voie alternative. Laquelle peut comprendre les traitements alternatifs du Dr Gerson ou la cure de Breuss ou les aliments et nutriments anti-cancer comme le curcuma, ou encore des traitements à base de fortes doses de vitamine C et la vitamine D….
Une étude similaire publiée l’année dernière révélait déjà que toute manipulation dirigée contre les tumeurs peut par inadvertance augmenter le nombre de tumeurs métastatiques, c’est ce qui tue les patients au bout du compte, cette autre étude a conclu que les drogues anti-cancer, qui sont habituellement données en même temps que la chimiothérapie engendrent des métastases.

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